Blog - Optimiser le chauffage des bâtiments intelligents
Optimiser le chauffage des bâtiments intelligents
Sommaire
Face à la hausse du coût de l’énergie et aux obligations du décret BACS, l’optimisation de votre chauffage dans chaque local devient une opportunité stratégique.
Une approche clé en main, alliant audit énergétique, isolation et pilotage intelligent via une GTB, garantit conformité réglementaire tout en générant jusqu’à 30 % de gains. Finançable via une aide CEE, cette solution professionnelle réduit immédiatement votre facture, améliore le confort thermique des équipes sur leur lieu de travail et renforce votre image RSE, sans investissement initial.
Adaptée à votre activité et au type de bâtiment – bureaux, locaux commerciaux ou site industriel – elle assure un ROI rapide et une gestion simplifiée, libérant du temps pour votre cœur de métier.
Vous faites face à des coûts d’énergie qui flambent et au Décret BACS, une contrainte réglementaire qui menace votre rentabilité? Le bon réglage du système de chauffage de votre entreprise devient une priorité pour réduire jusqu’à 30 % vos dépenses, tout en assurant une conformité garantie sur une longue période. Grâce à des solutions clés en main éligibles aux aides CEE, transformez ces défis en avantage : zéro investissement, gains rapides (jusqu’à 25 %), confort renforcé pour vos équipes (aussi bien en période chaude que de froid) et image RSE valorisée, le tout sans perturber votre activité. Une opportunité concrète à activer avant les échéances 2025 et 2027.
- Maîtriser vos factures d’énergie : pourquoi l’optimisation du chauffage n’est plus une option
- La méthode en 4 étapes pour optimiser votre chauffage sans perturber votre activité
- Décret BACS : transformez une contrainte réglementaire en avantage concurrentiel
- Chauffage continu ou intermittent : la stratégie gagnante pour votre entreprise
- Un retour sur investissement rapide grâce aux aides financières

Maîtriser vos factures d'énergie : pourquoi l'optimisation du chauffage n'est plus une option
La double peine pour votre entreprise : flambée des prix et nouvelles réglementations
En 2023, les factures énergétiques des PME ont bondi de 50 à 100 % par rapport à 2021. Un impact direct sur votre marge qui menace la pérennité de votre activité. Le Décret Tertiaire impose une réduction de 40 % de votre consommation énergétique d’ici 2030, sous peine de sanctions pouvant atteindre 7 500 € par établissement. Le Décret BACS exige désormais des systèmes automatisés de gestion énergétique pour tous les sites tertiaires supérieurs à 290 kW, avec un délai de conformité avant les plus gros. Le droit du travail, via le Code du travail, impose également à l’employeur de veiller à la santé et à la sécurité de chaque salarié.
Que ce soit pour un site industriel ou agricole, une PME consomme en moyenne 43 % d’énergie pour le chauffage de son local (CEREN 2019). Sans optimisation, vous risquez non seulement des amendes, mais aussi une perte de compétitivité face à des concurrents plus éco-énergétiques, avec une émission de carbone trop élevée.
Les données doivent être transmises annuellement sur la plateforme OPERAT sous peine de publication publique de vos manquements. Un bâtiment de 2 500 m² avec un usage énergétique de 250 kWh/m²/an (soit 625 MWh/an) pourrait voir cette consommation divisée par deux après mise aux normes, générant des gains de 30 000 € à 50 000 € annuels.
Transformer l'obligation en opportunité stratégique
Le bon réglage de votre système de chauffage devient votre levier le plus rentable.
Avec une aide comme les CEE, vous financez jusqu’à 40 % des travaux sans investissement initial. Une PME peut réduire sa facture énergétique de 15 à 30 % en améliorant la régulation thermique. Une température réduite de 1°C permet de baisser la facture de 7 %, sans nuire au confort des 72 % de vos salariés. L’employeur exerce sa responsabilité en assurant une bonne condition de travail, qui doit être adaptée à l’activité physique de chacun.
Les systèmes BACS permettent un suivi en temps réel de votre consommation (kWh/m²/an) et détectent les surconsommations avant qu’elles ne deviennent critiques.
En France, 70 % des entreprises accompagnées par les services de l’État ont déjà réduit leurs dépenses énergétiques. Votre engagement RSE devient un avantage commercial, avec un ROI garanti en 3 à 5 ans grâce aux aides cumulables (amortisseur électricité, guichet unique impôts.gouv.fr).
Une PME de 1 500 m² peut bénéficier d’un amortisseur électricité ramenant le prix de l’énergie à 0,18 €/kWh sur 50 % de sa consommation, générant un gain de 12 000 €/an pour une structure consommant 200 MWh.
La méthode en 4 étapes pour une chauffe efficace sans perturber votre activité
Étape 1 : L’audit énergétique, le point de départ de vos gains
Vous ignorez peut-être que 30 % de votre facture énergétique s’envole à cause d’inefficiences cachées. L’audit énergétique, réalisé par un expert, transforme cet argent perdu en opportunité concrète. Ce diagnostic complet, première mesure essentielle, dévoile votre consommation en kWh/m²/an, révèle les fuites thermiques et calcule le coût et le ROI de chaque action. Cette opération fournit un conseil avisé.
- Cartographie des déperditions thermiques (toiture, murs, vitrages).
- Évaluation du rendement des équipements existants.
- Analyse des besoins réels croisés avec les horaires d’occupation.
- Plan d’action chiffré avec priorisation par retour sur investissement.
Un EHPAD a réduit ses dépenses de 18 % après avoir remplacé ses fenêtres anciennes. Obligatoire pour les sites >1 000 m², cet audit débloque des aides comme le crédit d’impôt à 30 %. Les PME éligibles peuvent aussi solliciter le service SARE pour un accompagnement personnalisé.
Étape 2 : L’isolation, le bouclier thermique de votre bâtiment
Chauffer un espace mal isolé, c’est comme mettre de l’argent dans un sac troué. Jusqu’à 25 % des déperditions proviennent de la toiture. Le double vitrage offre jusqu’à 35 % de gains, avec des aides CEE couvrant 20 % du coût des travaux.
Le Décret Tertiaire exige une réduction de 40 % d’ici 2030. Anticiper vous évitera des dépenses futures. Des matériaux comme la ouate de cellulose ou les isolants haute performance apportent 25 à 30 % de gains. L’isolation des tuyauteries évite 15 % de surconsommation. Le Prêt Économies d’Énergie (PEE) finance les travaux sans frais initiaux, avec un remboursement échelonné sur 3 à 7 ans.
Étape 2 : L’isolation, le bouclier thermique de votre bâtiment
Chauffer un espace mal isolé, c’est comme mettre de l’argent dans un sac troué. Jusqu’à 25 % des déperditions proviennent de la toiture. Le double vitrage offre jusqu’à 35 % de gains, avec des aides CEE couvrant 20 % du coût des travaux.
Le Décret Tertiaire exige une réduction de 40 % d’ici 2030. Anticiper vous évitera des dépenses futures. Des matériaux comme la ouate de cellulose ou les isolants haute performance apportent 25 à 30 % de gains. L’isolation des tuyauteries évite 15 % de surconsommation. Le Prêt Économies d’Énergie (PEE) finance les travaux sans frais initiaux, avec un remboursement échelonné sur 3 à 7 ans.
Décret BACS : transformez une contrainte réglementaire en avantage concurrentiel
Face à la montée des dépenses énergétiques et des obligations légales, le Décret BACS ne doit pas être perçu comme un simple fardeau administratif. C’est en réalité une opportunité unique pour votre entreprise de réduire ses dépenses opérationnelles tout en améliorant la performance de vos équipements.
En intégrant un système de Gestion Technique du Bâtiment (GTB), vous transformez une obligation réglementaire en levier concret pour votre rentabilité. Découvrez comment cette solution “clé en main” peut révolutionner votre gestion énergétique sans perturber votre activité.
Le Décret BACS : explication simple pour dirigeant pressé
Le Décret BACS impose l’installation de systèmes d’automatisation et de contrôle dans les sites tertiaires équipés de systèmes de chauffage ou climatisation d’une puissance supérieure à 70 kW. Selon l’article officiel du décret n°2020-887, cette obligation et ces règles s’appliquent à la majorité des entreprises industrielles et tertiaires.
Les délais d’application sont clairs : avant le 1er janvier 2025 pour les systèmes > 290 kW, et avant le 1er janvier 2027 pour ceux entre 70 et 290 kW. Bien que le décret ne prévoit pas de sanctions directes, le non-respect expose votre entreprise à des risques indirects : surcoûts énergétiques, impact négatif sur votre image RSE et difficultés futures pour vendre ou louer vos locaux.
La GTB (Gestion Technique du Bâtiment) : votre solution "clé en main" pour la conformité et la performance
La GTB agit comme le cerveau intelligent de vos installations. Elle pilote automatiquement vos systèmes de chauffage, de refroidissement, de climatisation et de ventilation, ainsi que la production d’eau chaude sanitaire, en s’adaptant à l’occupation réelle des espaces et aux conditions météorologiques. Fini les réglages manuels approximatifs ou les gaspillages inutiles : tout est optimisé en temps réel pour maximiser votre confort. La GTB vous met en position de force pour négocier vos contrats d’énergie.
Caractéristique | Gestion Manuelle (Avant) | Gestion Automatisée (Après GTB) |
---|---|---|
Réglage Température | Manuel, approximatif, statique | Automatisé, précis, dynamique (selon occupation, météo) |
Suivi Consommation | Sur facture mensuelle/annuelle, sans détail | En temps réel (kWh/m²/an), par zone, avec alertes |
Conformité Décret BACS | Non conforme, risque de sanction | Conformité garantie |
Gains d’énergie | Faibles ou inexistants | Jusqu’à 30% de gains démontrés |
Temps de gestion | Chronophage pour le personnel | Entièrement automatisé, libère du temps |
En adoptant cette solution, vous bénéficiez d’un suivi précis de votre consommation en kWh/m²/an, d’une détection immédiate des anomalies et d’une conformité garantie avec les exigences réglementaires. Grâce aux aides CEE, le déploiement d’une GTB peut être financé à 60-80% par des subventions, éliminant ainsi l’investissement initial tout en générant un retour sur investissement en 3 à 5 ans.
Vous gagnez également en tranquillité d’esprit : plus besoin de mobiliser vos équipes pour surveiller manuellement vos installations. La GTB centralise toutes les opérations, libérant vos ressources humaines pour des tâches à plus forte valeur ajoutée.

Chauffage continu ou intermittent : la stratégie gagnante pour votre entreprise
Le mythe du "maintien à basse température" : pourquoi c'est souvent une fausse bonne idée
Beaucoup de gestionnaires pensent faire des gains en maintenant une température constante de 15-16°C en dehors de la plage horaire d’occupation. Cette pratique est pourtant plus coûteuse, surtout dans les sites tertiaires. L’inertie thermique (capacité à conserver la chaleur) joue un rôle clé : un bâtiment en béton se refroidit plus lentement qu’un bâtiment en bois, ce qui justifie un chauffage intermittent pendant une durée déterminée. Un site en béton de 600 m² avec une isolation standard peut perdre 1,5°C en 8 heures de froid quand il est fermé, contre 3°C pour un site en ossature bois.
Pour un bureau de 500 m² avec isolation moyenne, cette pratique entraîne 30 % de gaspillage énergétique. En passant à un chauffage intermittent (12°C la nuit, remontée à 19°C avant l’arrivée du personnel), le gain atteint 20 à 25 %, selon l’étude d’Advizeo. Les matériaux comme le béton renforcent cet effet, tandis que le bois exige une adaptation plus précise des plages de chauffage.
Adapter la programmation à votre activité : des scénarios concrets
- Bureaux (9h-18h, 5 jours/semaine) : Abaissement à 12°C la nuit (gains de 18 %). Activation 2h avant l’arrivée du personnel. Une GTB optimise les plages selon la météo, évitant 15 % de gaspillage. Pour un site de 700 m², cela représente 700 € de gains annuels.
- Commerce (horaires variables) : Zonage par rayonnage avec baisse de 2°C pendant les fermetures. Par exemple, un supermarché de 300 m² gagne 600 €/an grâce à la GTB et aux portes coulissantes automatisées qui limitent les déperditions de 12 % supplémentaires.
- Industrie (production 24/7 + bureaux) : Maintien à 10°C dans les zones non critiques comme un atelier. Programmation dynamique dans chaque bureau. Une usine de 1 500 m² réduit ses dépenses de 15 %. Le DÉSEMBOUEUR DRAG’EAU élimine les boues dans les canalisations, optimisant le transfert de chaleur et générant 8 % de gains en plus. L’employeur doit assurer que chaque personne peut travailler dans de bonnes conditions.
La GTB (Gestion Technique du Bâtiment) transforme ces stratégies en actions simples. Elle ajuste les températures par zone, garantit la conformité au Décret BACS et génère jusqu’à 1 200 € de gains annuels pour un site de 800 m², sans investissement lourd grâce aux aides CEE via la fiche BAT-TH-116.
Enfin, le Décret tertiaire impose une réduction de 40 % de la consommation d’ici 2030 pour les sites >1 000 m². La GTB permet de suivre vos consommations en kWh/m²/an et d’éviter les pénalités de 50 €/m²/an. En transformant une obligation légale en opportunité financière, vous alliez conformité, rentabilité et confort pour vos équipes.
Un retour sur investissement rapide grâce aux aides financières
Les Certificats d'Économies d'Énergie (CEE) : comment financer votre projet
Le dispositif des CEE, soutenu par le gouvernement, transforme une obligation réglementaire en opportunité financière. Les fournisseurs d’énergie, tenus de financer des actions de gains d’énergie, peuvent racheter des certificats à des entreprises ayant installé des systèmes comme la GTB. Une entreprise spécialisée, en tant que professionnel du secteur, gère la procédure pour son client, depuis la vérification de l’éligibilité via la fiche BAT-TH-116 jusqu’à l’obtention de la prime CEE dont le montant varie.
Pour Louis, dirigeant de PME, cette solution élimine le principal frein à l’investissement. Le mécanisme CEE repose sur l’éligibilité des sites tertiaires de plus de 2 ans, avec une GTB conforme à la norme NF EN ISO 52120-1:2022. Les partenaires techniques prennent en charge les démarches administratives, garantissant une mise en œuvre sans risque pour l’entreprise.
Des gains immédiats et un ROI mesurable
Pour une facture de chauffage annuelle de 40 000€, un gain de 25% permet de générer 10 000€ dès la première année. Selon les solutions de pilotage énergétique pour les entreprises, une GTB génère jusqu’à 30% de gains d’énergie, soit 15 à 25 kWh/m²/an. Le système BACS anticipe les besoins en énergie grâce à l’IA prédictive, évitant les surconsommations inutiles.
Ces résultats s’expliquent par la régulation précise des températures selon les usages, une mesure de sobriété énergétique. Un site tertiaire de 1 500 m² peut ainsi gagner 37 500 kWh/an (15 kWh/m² x 1 500 m²), soit environ 7 500€, avec un impact environnemental réduit. Le retour sur investissement, pour cette action verte, intervient en 2 à 5 ans, même sans financement CEE. Avec ce dispositif, le délai se réduit à quelques mois.
Les bénéfices au-delà du financier : confort, image et valeur
- Un investissement maîtrisé : Financement intégral possible via les CEE, préservant la trésorerie. La fiche BAT-TH-116 valorise les gains en kWh cumac selon la classe de la GTB (A à D selon la norme NF EN 15232-1).
- Des gains immédiats et récurrents : Baisse de 20 à 30% des dépenses énergétiques, répercutée sur les résultats. Une PME de 2 000 m² peut gagner 40 000 kWh/an, l’équivalent de 8 000€.
- Une tranquillité d’esprit totale : Conformité garantie avec le décret BACS pour les sites >290 kW dès 2025, dans la limite des textes en vigueur. Les systèmes BACS (GTB + EMS) obligatoires évitent des pénalités de 1 500€/m² pour non-respect du décret. Notre avis est que cette obligation est une opportunité, que vous soyez à Paris ou ailleurs.
- Une valorisation du capital humain et matériel : Meilleur confort des salariés (19-22°C recommandés) et renforcement de l’image RSE. Les sites certifiés HQE voient leur valeur immobilière augmenter de 5% en moyenne.
Face à la hausse des dépenses et au décret BACS, agir est urgent. Une solution clé en main, avec GTB et financement CEE, assure conformité, jusqu’à 30 % de gains et confort amélioré, sans investissement. L’heure est à l’action : transformez la contrainte réglementaire en avantage concurrentiel.
FAQ - Optimisation de sa consommation de chauffage
Comment optimiser le chauffage d'une entreprise ?
Pour optimiser le chauffage de votre entreprise et de chaque local professionnel, il est crucial d’adopter des systèmes de chauffage modernes et de viser une efficacité énergétique maximale. Cela passe par un audit, une bonne isolation et un pilotage intelligent pour garantir le confort thermique des équipes. Le résultat est une réduction de facture notable, surtout en intégrant une part d’énergie renouvelable.
Quelles sont les limites de température en entreprise ?
La réglementation fixe des limites de température pour le chauffage des sites tertiaires. La température limite de chauffage est souvent fixée à 19°C dans les bureaux dans le cadre du plan de sobriété énergétique. Le code du travail et le droit du travail encadrent aussi le confort du salarié, une obligation pour l’employeur. La température doit être comprise dans une fourchette qui assure le bien-être. Respecter cette règle permet de maîtriser la consommation et de réduire l’impact environnemental de l’entreprise.
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Quels types de chauffage pour locaux professionnels ?
Pour les locaux professionnels, plusieurs types de chauffage existent. Les systèmes de chauffage les plus performants incluent la chaudière à condensation pour le chauffage au gaz, les pompes à chaleur (PAC) qui valorisent l’énergie de l’air, le chauffage électrique avec un radiateur performant, ou le raccordement à un réseau de chauffage urbain. Chaque chaudière a ses spécificités.
L&Smart peut-elle être déployée dans un bâtiment ancien ?
Tout à fait. Grâce aux technologies sans fil comme LoRa mentionnées dans le document (“notre force c’est le temps que l’on passe pour déployer un projet. On a fait une succession de choix techniques qui nous permettent de déployer très rapidement (LoRa, CloudGate, …)”), L&Smart équipe facilement des bâtiments anciens sans travaux lourds de câblage.
Comment réduire la consommation énergétique ?
Pour réduire la consommation énergétique, il faut optimiser le chauffage de l’entreprise. La sobriété énergétique passe par des gestes simples et des travaux ciblés pour améliorer l’efficacité énergétique. Un entretien régulier, comme le désembouage circuit de chauffage, est aussi une opération clé pour réaliser un gain durable.
Quelles solutions écologiques pour le chauffage ?
Les solutions écologiques pour le chauffage s’appuient sur l’énergie renouvelable et verte. On peut citer le chauffage solaire avec des panneaux thermiques, le chauffage géothermique qui puise la chaleur du sol, ou les chaudières à biomasse utilisant le bois. Le raccordement aux réseaux de chaleur est aussi une option vertueuse pour la transition écologique.
Comment choisir un système de chauffage ?
Pour choisir le bon système de chauffage, il faut analyser la dépense globale (installation et fonctionnement), la performance de l’équipement et son adéquation avec vos locaux. Il est recommandé de demander le conseil et l’avis d’un professionnel pour évaluer les options et garantir un retour sur investissement rapide.
Quels sont les impacts du chauffage sur l'environnement ?
L’impact environnemental du chauffage est lié à la consommation énergétique et aux émissions de gaz à effet de serre. Un système mal réglé augmente l’empreinte carbone de l’entreprise. La transition énergétique vers des solutions plus propres est essentielle pour réduire cette émission de carbone et participer à la réduction des déchets énergétiques.
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